Le journal d’une femme de chambre — Mardi 29 janvier

Le journal d’une femme de chambre (1963) de Luis Bunuel avec Jeanne Moreau dans le rôle principal est une adaptation brillante du roman d’Octave Mirbeau « habité par une des figures de femme les plus énigmatiques de son cinéma ». (Alain Bergala) Avec un Michel Piccoli à contre-emploi jouant un grand bourgeois sexuellement frustré , le film parle entre autre de cette forme de perversion qui répugne mais attire intellectuellement le cinéaste.

Synopsis

A la fin des années 20. Un train s’arrête dans une petite gare normande. Célestine, la nouvelle bonne du vénérable monsieur Rabour, en descend. Joseph, un domestique antipathique, la mène en carriole jusqu’à la propriété bourgeoise du prieuré. Bientôt, Célestine n’ignore plus rien des travers de chacun. Elle se prête avec complaisance au fétichisme de Rabour, que les bottines féminines rendent fou, mais se refuse aux amours ancillaires que lui propose son gendre, monsieur Monteil, tenu loin de la couche conjugale par la froideur de sa femme. Elle se lie d’affection avec une jeune sauvageonne, Claire, dont on retrouve bientôt le cadavre dans un bois… (Télérama)

Analyse de Critikat

Jeanne Moreau, un regard qui défie

Luis Bunuel sur Lumière.org

fiche du film

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